Jeanne Sévilla, maîtresse de CP de notre enfance, a laissé sur nos vies, à mon frère Roland et à moi, une empreinte indélébile… Et s’il suffisait de se sentir aimé pour apprendre “par coeur”…?
Cher Yves,
A l’heure où enseigner peut mener à se faire tuer, ta page est un bain de douceur et de respect pour ces personnes qui exercent ce métier.
Merci de les mettre à l’honneur avec cette belle chanson.
Ma Madame Sévilla qui permettait à ses petits élèves de s’éveiller à la connaissance s’appeleit Madame Bulteau. Je ne la remercierai jamais assez…
Je t’embrasse, ainsi que Noëlle.
A demain !
Nous sommes aujourd’hui à un tournant aussi important que l’invention de la presse d’imprimerie à caractères mobiles par Gutenberg. À l’époque, en plein milieu du XVème siècle, les moines copistes se sont inquiétés de leur avenir : qu’allaient-ils devenir, si une machine était capable de reproduire les livres ? La suite nous a apporté la réponse : ils ont été orientés vers d’autres activités pendant que le savoir, désormais ouvert à tous et non plus réservé aux clercs, s’est démocratisé. Accéder à la connaissance est devenu plus aisé, et avec la lecture et le partage des idées, l’esprit critique s’est développé.
Mon quotidien fait de rencontres d’enseignants me conduit à entendre leur inquiétude actuelle, qu’ils expriment simplement : «À quoi servirons-nous, très bientôt, si un élève peut obtenir la réponse à une question en interrogeant l’Intelligence Artificielle ?». La question n’est pas anodine, puisqu’elle pose la question du rôle du Maître.
Autrefois détenteur du savoir, l’enseignant, ces dernières années, a peu à peu été déplacé dans sa posture, devenant insensiblement un accompagnateur vers la connaissance. C’est ce rôle-là qui, de nos jours, est prépondérant. Le savoir, la connaissance, sont à portée de clic. La compréhension, l’analyse, la réflexion ne peuvent se développer qu’accompagné. Celui qui ne rencontre pas le bon «Passeur» ne pourra pas progresser.
En filigrane, c’est ce versant-là du rôle du Maître d’École que l’on perçoit dans «Madame Sévilla».
À l’époque, les supports d’instruction étaient les livres, mais l’apprentissage du geste graphique relevait de l’accompagnement par l’instituteur. À l’époque, il n’y avait pas de calculatrices, mais si l’apprentissage des tables de multiplication n’était qu’un exercice de mémoire, la découverte du sens profond de la notion de multiplication ou de division était l’apanage de l’enseignant.
Les supports actuels sont radicalement différents. Tableaux interactifs, tablettes, calculatrices, ordinateurs, j’en passe et des meilleures, ne sont que des supports. Ce qui compte, au fond, c’est l’art du pédagogue. Imagine-t-on un seul instant enseigner l’Histoire en laissant l’élève seul face à un podcast qui ne livrerait qu’un seul point de vue ? Le professeur d’Histoire se doit d’initier le débat, d’ouvrir chacun à des idées autres que celles, toutes faites, qu’il a pu glaner sur la Toile, ou que son environnement familial et/ou sociétal lui a déjà pré-imprimé dans ses circuits neuronaux.
Ne cherchez pas plus loin la raison pour laquelle les enseignants sont malheureusement devenus des cibles pour les illuminés : il n’y a rien de plus dangereux pour eux que celui qui ouvre d’autres horizons aux prisonniers de l’ignorance.
De Madame Sévilla, cher Yves, vous avez gardé le souvenir de l’accompagnement bienveillant qu’elle a eu pour le garçonnet qui nous sourit en ouverture de ce post. Aucune machine n’aurait laissé cette empreinte.
A demain…
Grosses Bises à Yves et Noëlle…
Hélène.
Pierrette Branchereau
26 octobre 2023 at 11:50 Répondre
Ho !!! Yves ..je suis émue…car pour repondre à ta question…c’est vrai ce que tu dis.. oui c ‘est vrai que de se sentir aimé pour apprendre par coeur..J’ai vécu cette situation alors que j’etais au primaire…de la 20 ieme place sur 25…je suis passée 1ere avec le prix d’honneur comme quoi ma maîtresse a fait toute la différence. Je ne l’oublierai jamais… Merci cher Yves pour ce bel hommage à Madame de Sévilla.
Une chanson remplie de tendresse et de reconnaissance pour celle qui en plus des calculs, de l’écriture, de la grammaire et de toutes les autres matières vous a appris le doux bonheur d’être aimé. N’est-ce pas le plus beau des apprentissages, celui qui nous guide éternellement ?
Le jour où j’ai écouté pour la première fois cette chanson, ce fût un tendre retour sur l’enfance et sur des souvenirs d’école enfuis qui d’un seul coup m’ont envahie d’émotions…
Merci pour cette superbe chanson et à demain, chers Yves et Noëlle, je vous embrasse,
Magnifique hommage tout en pleins, déliés, rondeur et douceur.
Magnifique hommage à cette dame qui a gentiment et savamment mené ce petit garçon jusqu’à nous.
Avec toutes ces valeurs offertes, transmises, que vous offrez, que vous transmettez à votre tour… à demain avec beaucoup de plaisir.
Guillon Micheline
26 octobre 2023 at 13:48 Répondre
Merci Yves pour cette superbe chanson très émue , ce jour de rencontre avec Mme Sevilla je n’ai pas pu aller au concert au théâtre d’Avranches Lieu őu j’ai fait mes études au lycée et également commencée ma carrière. J’espère que le destin vous amènera dans la ville épiscopale de la Manche . Bonne journée à vous deux
” Quand l’élève est prêt … le maître arrive ” quelle émotion pour vous Maestro de vous retrouver sur ” l’estrade ” la scène devant Mme Sevilla votre maîtresse de CP … cinquante années plus tard.
,
Respect à nos enseignants, nos professeurs … Avec une intention toute particulière pour Samuel Paty et Dominique Bertrant, morts dans l’exercice de leurs fonctions
Apprendre … À lire, à écrire, à compter
Apprendre à compter sur soi-même
À compter pour ceux qui vous aiment
Pour faire aussi partie du nombre, pouvoir enfin sortir de l’ombre.
Merci pour cet hommage à une personne qui voue sa vie aux autres dans une abnégation totale. Elle a ouvert un joli cadeau qui rayonne toujours pour notre plus grand bonheur. Oserais-je ? Vous ne m’en voudrez pas j’en suis sûre. Quelle bouille adorable ce petit bonhomme et quel sourire craquant ! Votre chanson touche à l’intime, à ces instants d’enfance où l’institutrice ouvre notre regard sur les évènements, sur les découvertes qui nous font grandir. Elle s’appelait Melle Rose. Elle habitait l’école du village. Elle nous tirait tous vers le haut. Elle n’avait connu que l’enseignement pour les filles quand quelques années avant sa retraite il y eût la mixité. Dès le départ elle a instauré le respect de part et d’autre. Chacun avait sa charge qui changeait tous les jours. Elle enseignait de la 1ere primaire à la 6eme. Les grands aidaient les petits. Tous réussissaient, c’était un honneur pour elle à la fin de l’année quand notre bourgmestre nous rendait nos bulletins. Je ne l’ai jamais oubliée. D’autant que nous avions un lien familial. C’était une lointaine cousine. Quelle ne fût ma surprise l’année où je quittais les primaires de m’entendre dire que dorénavant je pouvais l’embrasser quand je la croisais. Je garde l’odeur de son visage poudré avec soin et de son parfum et du respect qu’elle m’a inculqué. Ma fille est enseignante. Je tremble souvent pour elle et ses collègues d’autant que son école fût la cible d’un attentat la semaine dernière. Les enseignants se battent pour continuer à distiller un enseignement de qualité sans le brader. Le courage et la persévérance ne suffiront pas. Il faut qu’ils soient épaulés. Leur place est vitale. Merci pour toute cette reconnaissance envers une grande dame. A demain.
Bonjour,
“Madame Sévilla” me ramène à toutes mes photos annuelles de classe.
Je les regarde toujours avec émotion me rappelant avec bonheur le nom de tous mes instituteurs, professeurs et de nombreux condisciples.
Les enseignants ont une profession de plus en plus compliquée notamment face aux obscurantistes qui ne veulent pas que le chemin soit éclairé.
Merci, à demain vous entendre
Bonjour Yves et bonjour Noëlle.
La chanson préférée de Patrick …
Au mois de mai, nous marchions sur vos pas dans ce quartier dans lequel nous avions notre hôtel . Quel pèlerinage !
Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de mon CP mais je ressens beaucoup de nostalgie ( d’ailleurs, un vieux pupitre trône dans une de nos chambres ) .
Nous aimons Patrick et moi visiter des anciennes écoles devenues musées dans lesquels nous pouvons même subir une épreuve de dictée ou un problème de mathématiques . Là où les instituteurs appréciaient et respectaient leurs élèves qui le leur rendaient bien .
À demain peut être pour ” apprendre ”
Nadine.
Moi aussi j ai connu une institutrice mademoiselle Demange
Ç était à l école primaire de filles rue Debelleyme à Paris
Si quelqu’une la connaissait laissez moi un message merci
Elle m a beaucoup aidée dans des moments très difficiles de ma vie
Devenue adulte et mariée nous sommes restées en contact pas mal de temps puis nous nous sommes perdues de vue mais jamais je ne l oublierai
Bonjour Yves,
On ne se connait pas mais je viens de faire cette découverte…
Je pense souvent a Mme Sevilla que j ai eu aussi comme Maîtresse en CP 1 et 2 , elle a su par toute son expérience, dénouer les noeuds et me faire grandir. J ai encore cette douleur du changement de classe et donc de la séparation, que doivent avoir j imagine tous les enfants qui ont aimé leur institutrice. Je suis très heureux du témoignage que tu lui as donné qui sera aussi un peu le mien.
M Wong et M Meyer que j ai eu ensuite ont eux aussi réussi cet apprentissage, M Piquemal que j ai eu en colle symbolise pour moi l opposé absolu….
De ce pas , je vais faire écouter à mes enfants cette belle chanson qui me touche beaucoup.
Merci
Philippe (né en 1962) , cp de 1968 ou 1969.
Cher Yves,
A l’heure où enseigner peut mener à se faire tuer, ta page est un bain de douceur et de respect pour ces personnes qui exercent ce métier.
Merci de les mettre à l’honneur avec cette belle chanson.
Ma Madame Sévilla qui permettait à ses petits élèves de s’éveiller à la connaissance s’appeleit Madame Bulteau. Je ne la remercierai jamais assez…
Je t’embrasse, ainsi que Noëlle.
A demain !
Bonjour Yves, bonjour Noëlle, bonjour à tous,
«Madame Sévilla» a valeur de témoignage.
Nous sommes aujourd’hui à un tournant aussi important que l’invention de la presse d’imprimerie à caractères mobiles par Gutenberg. À l’époque, en plein milieu du XVème siècle, les moines copistes se sont inquiétés de leur avenir : qu’allaient-ils devenir, si une machine était capable de reproduire les livres ? La suite nous a apporté la réponse : ils ont été orientés vers d’autres activités pendant que le savoir, désormais ouvert à tous et non plus réservé aux clercs, s’est démocratisé. Accéder à la connaissance est devenu plus aisé, et avec la lecture et le partage des idées, l’esprit critique s’est développé.
Mon quotidien fait de rencontres d’enseignants me conduit à entendre leur inquiétude actuelle, qu’ils expriment simplement : «À quoi servirons-nous, très bientôt, si un élève peut obtenir la réponse à une question en interrogeant l’Intelligence Artificielle ?». La question n’est pas anodine, puisqu’elle pose la question du rôle du Maître.
Autrefois détenteur du savoir, l’enseignant, ces dernières années, a peu à peu été déplacé dans sa posture, devenant insensiblement un accompagnateur vers la connaissance. C’est ce rôle-là qui, de nos jours, est prépondérant. Le savoir, la connaissance, sont à portée de clic. La compréhension, l’analyse, la réflexion ne peuvent se développer qu’accompagné. Celui qui ne rencontre pas le bon «Passeur» ne pourra pas progresser.
En filigrane, c’est ce versant-là du rôle du Maître d’École que l’on perçoit dans «Madame Sévilla».
À l’époque, les supports d’instruction étaient les livres, mais l’apprentissage du geste graphique relevait de l’accompagnement par l’instituteur. À l’époque, il n’y avait pas de calculatrices, mais si l’apprentissage des tables de multiplication n’était qu’un exercice de mémoire, la découverte du sens profond de la notion de multiplication ou de division était l’apanage de l’enseignant.
Les supports actuels sont radicalement différents. Tableaux interactifs, tablettes, calculatrices, ordinateurs, j’en passe et des meilleures, ne sont que des supports. Ce qui compte, au fond, c’est l’art du pédagogue. Imagine-t-on un seul instant enseigner l’Histoire en laissant l’élève seul face à un podcast qui ne livrerait qu’un seul point de vue ? Le professeur d’Histoire se doit d’initier le débat, d’ouvrir chacun à des idées autres que celles, toutes faites, qu’il a pu glaner sur la Toile, ou que son environnement familial et/ou sociétal lui a déjà pré-imprimé dans ses circuits neuronaux.
Ne cherchez pas plus loin la raison pour laquelle les enseignants sont malheureusement devenus des cibles pour les illuminés : il n’y a rien de plus dangereux pour eux que celui qui ouvre d’autres horizons aux prisonniers de l’ignorance.
De Madame Sévilla, cher Yves, vous avez gardé le souvenir de l’accompagnement bienveillant qu’elle a eu pour le garçonnet qui nous sourit en ouverture de ce post. Aucune machine n’aurait laissé cette empreinte.
A demain…
Grosses Bises à Yves et Noëlle…
Hélène.
Ho !!! Yves ..je suis émue…car pour repondre à ta question…c’est vrai ce que tu dis.. oui c ‘est vrai que de se sentir aimé pour apprendre par coeur..J’ai vécu cette situation alors que j’etais au primaire…de la 20 ieme place sur 25…je suis passée 1ere avec le prix d’honneur comme quoi ma maîtresse a fait toute la différence. Je ne l’oublierai jamais… Merci cher Yves pour ce bel hommage à Madame de Sévilla.
Une chanson remplie de tendresse et de reconnaissance pour celle qui en plus des calculs, de l’écriture, de la grammaire et de toutes les autres matières vous a appris le doux bonheur d’être aimé. N’est-ce pas le plus beau des apprentissages, celui qui nous guide éternellement ?
Le jour où j’ai écouté pour la première fois cette chanson, ce fût un tendre retour sur l’enfance et sur des souvenirs d’école enfuis qui d’un seul coup m’ont envahie d’émotions…
Merci pour cette superbe chanson et à demain, chers Yves et Noëlle, je vous embrasse,
Nicole
Magnifique hommage tout en pleins, déliés, rondeur et douceur.
Magnifique hommage à cette dame qui a gentiment et savamment mené ce petit garçon jusqu’à nous.
Avec toutes ces valeurs offertes, transmises, que vous offrez, que vous transmettez à votre tour… à demain avec beaucoup de plaisir.
Merci Yves pour cette superbe chanson très émue , ce jour de rencontre avec Mme Sevilla je n’ai pas pu aller au concert au théâtre d’Avranches Lieu őu j’ai fait mes études au lycée et également commencée ma carrière. J’espère que le destin vous amènera dans la ville épiscopale de la Manche . Bonne journée à vous deux
” Quand l’élève est prêt … le maître arrive ” quelle émotion pour vous Maestro de vous retrouver sur ” l’estrade ” la scène devant Mme Sevilla votre maîtresse de CP … cinquante années plus tard.
,
Respect à nos enseignants, nos professeurs … Avec une intention toute particulière pour Samuel Paty et Dominique Bertrant, morts dans l’exercice de leurs fonctions
Apprendre … À lire, à écrire, à compter
Apprendre à compter sur soi-même
À compter pour ceux qui vous aiment
Pour faire aussi partie du nombre, pouvoir enfin sortir de l’ombre.
Amitiés Yves et Noëlle.
A demain pour un jour, une chanson …
Chantal
Merci pour cet hommage à une personne qui voue sa vie aux autres dans une abnégation totale. Elle a ouvert un joli cadeau qui rayonne toujours pour notre plus grand bonheur. Oserais-je ? Vous ne m’en voudrez pas j’en suis sûre. Quelle bouille adorable ce petit bonhomme et quel sourire craquant ! Votre chanson touche à l’intime, à ces instants d’enfance où l’institutrice ouvre notre regard sur les évènements, sur les découvertes qui nous font grandir. Elle s’appelait Melle Rose. Elle habitait l’école du village. Elle nous tirait tous vers le haut. Elle n’avait connu que l’enseignement pour les filles quand quelques années avant sa retraite il y eût la mixité. Dès le départ elle a instauré le respect de part et d’autre. Chacun avait sa charge qui changeait tous les jours. Elle enseignait de la 1ere primaire à la 6eme. Les grands aidaient les petits. Tous réussissaient, c’était un honneur pour elle à la fin de l’année quand notre bourgmestre nous rendait nos bulletins. Je ne l’ai jamais oubliée. D’autant que nous avions un lien familial. C’était une lointaine cousine. Quelle ne fût ma surprise l’année où je quittais les primaires de m’entendre dire que dorénavant je pouvais l’embrasser quand je la croisais. Je garde l’odeur de son visage poudré avec soin et de son parfum et du respect qu’elle m’a inculqué. Ma fille est enseignante. Je tremble souvent pour elle et ses collègues d’autant que son école fût la cible d’un attentat la semaine dernière. Les enseignants se battent pour continuer à distiller un enseignement de qualité sans le brader. Le courage et la persévérance ne suffiront pas. Il faut qu’ils soient épaulés. Leur place est vitale. Merci pour toute cette reconnaissance envers une grande dame. A demain.
Bonjour,
“Madame Sévilla” me ramène à toutes mes photos annuelles de classe.
Je les regarde toujours avec émotion me rappelant avec bonheur le nom de tous mes instituteurs, professeurs et de nombreux condisciples.
Les enseignants ont une profession de plus en plus compliquée notamment face aux obscurantistes qui ne veulent pas que le chemin soit éclairé.
Merci, à demain vous entendre
Bonjour Yves et bonjour Noëlle.
La chanson préférée de Patrick …
Au mois de mai, nous marchions sur vos pas dans ce quartier dans lequel nous avions notre hôtel . Quel pèlerinage !
Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de mon CP mais je ressens beaucoup de nostalgie ( d’ailleurs, un vieux pupitre trône dans une de nos chambres ) .
Nous aimons Patrick et moi visiter des anciennes écoles devenues musées dans lesquels nous pouvons même subir une épreuve de dictée ou un problème de mathématiques . Là où les instituteurs appréciaient et respectaient leurs élèves qui le leur rendaient bien .
À demain peut être pour ” apprendre ”
Nadine.
Moi aussi j ai connu une institutrice mademoiselle Demange
Ç était à l école primaire de filles rue Debelleyme à Paris
Si quelqu’une la connaissait laissez moi un message merci
Elle m a beaucoup aidée dans des moments très difficiles de ma vie
Devenue adulte et mariée nous sommes restées en contact pas mal de temps puis nous nous sommes perdues de vue mais jamais je ne l oublierai
Bonjour Yves,
On ne se connait pas mais je viens de faire cette découverte…
Je pense souvent a Mme Sevilla que j ai eu aussi comme Maîtresse en CP 1 et 2 , elle a su par toute son expérience, dénouer les noeuds et me faire grandir. J ai encore cette douleur du changement de classe et donc de la séparation, que doivent avoir j imagine tous les enfants qui ont aimé leur institutrice. Je suis très heureux du témoignage que tu lui as donné qui sera aussi un peu le mien.
M Wong et M Meyer que j ai eu ensuite ont eux aussi réussi cet apprentissage, M Piquemal que j ai eu en colle symbolise pour moi l opposé absolu….
De ce pas , je vais faire écouter à mes enfants cette belle chanson qui me touche beaucoup.
Merci
Philippe (né en 1962) , cp de 1968 ou 1969.