“Vivre sans vivre”, un sublime moment partagé avec Bïa, brésilienne, montréalaise d’adoption, et auteure-compositrice fertile, Bïa englobe le vrai sens du terme « artiste du monde ». Avec sa voix envoûtante, sa guitare et ses rythmes chauds, Bïa tisse des ponts entre les cultures, incluant celles de son Brésil natal, de la France et du Québec. Pour cette version française que j’ai écrite pour “Samba em preludio” de Baden Powell et Vinicius de Moraes, enregistrée en studio, nous étions entourés de musiciens d’exception… C’est notre podcast d’aujourd’hui…
Et comme j’évoque, dans ce récit, la version magistrale d'”Aguas de Marzo” enregistrée en duo par Elis Regina et Tom Jobim, je ne résiste pas au plaisir de vous la faire (re-)découvrir ici…
En 2015, j’ai participé à un festival exceptionnel, “Val de Jazz”, à la Charité-sur-Loire, avec une chorale d’amateurs surprenante de justesse et de précision, et nous avons interprété ensemble “Les eaux de mars” (l’adaptation française de “Aguas de Marzo” de Georges Moustaki), sur un arrangement choral de Pierre-Gérard Verny. Un grand souvenir… Le voici…
à demain…
Ta voix se prête à merveille à cet univers brésilien. Cela fait du bien d’écouter ces duos en ce dimanche en demi-teinte…
Comme ce serait magnifique de consacrer un album complet à ces rythmes que tu affactionnes ! Une reprise d’une chanson de Nino Ferrer que j’adore et qui me poursuit, La Rua Madureira, y aurait une place de choix… Chiche ?
Grosses bises dominicales depuis la Vendée à tous les deux de nous deux.
Merci pour ces moments exceptionnels de douceur. Ta voix chaude et celle de Bia s’accordent à merveille pour ce duo qui nous renvoi tant d’apaisement.
Ces morceaux brésiliens aux rythmes de Jazz et de Bossa sont des flagrants délices à écouter ce dimanche.
Merci de tout cœur et à demain,
Bises,
Nicole
Bonjour Yves, bonjour Noëlle, bonjour à tous,
Impressions sur la chanson du jour, suite.
«Samba em preludio» en version Française… Rien ne pouvait viser aussi bien mon cœur : j’ai tant de fois entendu la version originale en imaginant qu’un parolier, un jour, en ferait une fidèle adaptation dans notre langue que la découverte de ce duo avec Bïa m’a convaincue de croire en mes rêves…
Magnifique duo, vu en direct, en vrai, sur la scène de la Coupole, à Saint Loubès, en mai 2003. Sublime et touchant.
Quelques mois plus tard, au Casino de Bordeaux, dernier concert en compagnie de ma maman. Ce soir-là, un beau cadeau : «Corcovado», en version originale. Pour ceux d’entre vous qui ne l’ont jamais entendu, chers amis du «Blog à part», sachez qu’à en croire ma maman lusophone de naissance, Yves s’en sort très bien aussi en Portugais…
De «Tu verras», libre adaptation de Nougaro de «O que sera», de Chico Buarque, aux «Eaux de Mars» version Moustakienne de l’œuvre de Jobim, les versions Françaises des chansons Brésiliennes ont toujours fait partie de la bande originale de ma vie. Merci d’y avoir ajouté «Vivre sans vivre» qui y a toute sa place.
À suivre.
Beijinhos à Yves et Noëlle…
Hélène.
Belles découvertes, merci. Bon dimanche, à demain
Des voix mêlées, entremêlées et la bossa qui les sublime. J’ai adoré l’écoute où dès les premières notes on s’envole, happé par une émotion cotonneuse, un répit où, seul, compte ce moment-là. Fermer les yeux et monter plus haut… J’ai du mal à redescendre et après tout je me la repasse et repasserais encore histoire d’être ivre de vivre. Merci. La bossa et Yves ; un moment d’éternité. Encore merci.
Je redescends donc à demain
Merci Yves! Quelle surprise chaque jour!
Merci !!
J’adore ce duo
À demain