Voici le premier Podcast de cette série “Un jour, une chanson”…
“Virages”, enregistré en 1972 aux studios Pathé-Marconi, à Boulogne, qui restera ma chanson fétiche… suivi d’une autre version, en forme de bossa.
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19 commentaires
MEZERAI Marie-Sylvie
12 octobre 2023 at 10:10 Répondre
Virages ! Que d’émotion à l’écoute de cette chanson… toute une ambiance qui me ramène… 50 ans en arrière ! C’est à la fois douloureux et réconfortant ! Le temps n’est rien. Ce qui était avant-hier n’est qu’hier en réalité !
Merci Yves de partager avec nous, de cette manière, l’histoire de vos chansons, votre histoire ! Heureuse d’en faire un tout petit peu partie.
J’adore la version bossa !!
Amitiés,
Marie-Sylvie
Première chanson et tout de suite, un coup de maître !
J’aime beaucoup la version bossa, toute douce qui gomme le “énérvée sans doute”. Ne reste que la main qui glisse dans le dos…
Merci pour ces beaux Virages.
Des bises.
Merci beaucoup, cher Yves! Je me rejouis d’ecouter chaque jour et suivre le programma des podcasts des chansons si belles. Grosses bises et toutes mes amities, Tamara Kappers
Quelle joie d’avoir un rendez-vous quotidien avec vous et vos chansons cher Yves! C’est un merveilleux cadeau que vous nous faites là! Je croyais que pour les anniversaires, c’était à nous d’offrir un cadeau et finalement, c’est l’inverse! Vous avez le sens des virages… Conversion totale, renversement … qui bouleverse… comme toujours. Je n’ai qu’un immense MERCI à vous offrir, humble et sincère… Moi qui pleurais de ne pas pouvoir monter à Paris vous écouter le 2 novembre, vous poussez la route jusqu’à moi. J’espère juste que ma gratitude vous ira DROIT AU COEUR, sans détour ni virage!
Il a vraiment bien fait d’ insister Frédéric Botton….Cette chanson superbe traverse toutes les décennies et nous enchante à chaque fois. La version Bossa est sublime.
Merci cher Yves pour ce premier podcast.
A demain….
Pour rien au monde je n’aurais manqué ce premier rendez-vous qui débute une longue série de podcasts, de quoi nous faire patienter jusqu’à la date magique du 2 novembre où j’aurai le plaisir de vous retrouver pour cette deuxième soirée aux Folies Bergère.
Quel magnifique cadeau vous nous faites, en complément de votre livre “Chemin d’écriture”, sa version “audio” en quelque sorte. Merci infiniment pour ce beau partage !
J’avais déjà beaucoup aimé le livre audio “Chemins de liberté” et j’ai maintenant hâte de découvrir jour après jour les autres trésors que vous allez nous offrir.
A très vite, avec toutes mes amitiés ainsi qu’à Noëlle.
Pascale
Odette Varon Vassard
12 octobre 2023 at 19:18 Répondre
Grand merci pour ces podcasts qui sont une petite oasis dans ces jours si difficiles…
Odette Varon Vassard
12 octobre 2023 at 19:34 Répondre
Grand merci cher Yves pour ces rendez vous quotidiens, qui sont une petite oasis en ces jours si difficiles…
Cette chanson éveille en moi des souvenirs inoubliables …mon premier et mon véritable amour .J adore les différentes versions aussi passionnantes que passionnées .Merci Yves de partager des moments d amour et de partage si essentiels dans un monde dur et violent .
A Noëlle et Yves. Là, tout à coup les écouteurs sur les oreilles je me retrouve propulsée il y a presque 50 ans. Cachée sous mon oreiller ma petite radio, interdite à la pensionnaire que j’étais, me révélait que ce “Virages” était une espérance d’une puissance infinie. Là, où l’espérance résonne, la vie prend un bel élan. Je suis tous les virages et ne m’en lasse pas. La bossa, qui, je le dis souvent, vous va comme un gant, est d’une douceur savoureuse. J’aime les deux avec délice. Merci infiniment pour ce cadeau. Attentifs et délicats, merci à vous deux, pour toutes ces attentions dont vous entourez ceux qui vous apprécient. Quel bonheur de vous dire “à demain”. Jamais je n’aurais pensé vous dire celà. C’est assez galvanisant. Avec tout mon respect.
Jacqueline Rancoule
13 octobre 2023 at 2:16 Répondre
Merci , Yves pour ce merveilleux souvenir:-)) Que ce grand virage et ce long voyage ne finissent pas ..pour notre plus grand bonheur !!! J’aime aussi beaucoup la version bossa nova.. Vivement demain ..le prochain rendez vous !!
Quelle belle idée que ces podcasts quotidiens qui vont rythmer nos jours et ensoleiller nos cœurs juste au moment où l’automne semble enfin se décider à frapper à nos portes.
Nous allons être fort nombreux, sans aucun doute, à venir chercher à la source le récit des origines de chaque chanson qui nous sera proposée. La petite dose de bonheur en plus, c’est d’entendre le texte dit d’une voix familière, de celle que nous entendons dans notre tête en lisant «Chemins d’écriture»…
J’ai pris ces podcasts, si simplement offerts ici, comme une invitation, après avoir entendu la genèse d’une chanson, à donner ici le récit de la façon dont nous l’avons découverte, ou bien tout simplement l’expression de ce que ces paroles «écrites pour qu’elles s’envolent» font résonner en nous en termes de souvenirs.
J’essaierai donc de tenir le rythme au mieux, bien que je sois déjà en retard de deux ou trois longueurs, en vous livrant quasi quotidiennement la façon dont la chanson du jour résonne en moi.
Mon premier souvenir de «Virages», c’est celui du son du petit poste de radio qui accompagnait ma maman dans ses travaux de couture ou de tricot. En général, elle écoutait les émissions de France Inter à un niveau raisonnable, mais dès que «Virages» pointait une note sur l’antenne, le volume grimpait soudain de façon extraordinaire, à tel point que je l’entendais depuis l’autre bout du couloir qui séparait les chambres.
J’avais presque 8 ans, et tout ce que j’avais compris, c’était que rouler de nuit, dans le brouillard, sur une route sinueuse, ce n’était pas si simple. Par contre, je n’avais pas bien intégré la notion de «virage qui te plaque à moi»… Comme je n’ai jamais aimé rester sur une question sans réponse, j’ai cherché, et découvert dans l’encyclopédie les notions de forces centrifuge et centripète. Premier contact avec les sciences physiques…
Quelques mois plus tard, «Virages» passait toujours épisodiquement sur l’antenne de France Inter, puisque, à cette époque-là, la programmation n’était pas dictée par les maisons de disques, mais portait la patte de celui ou celle qui assumait cette responsabilité dans la station. Il faut croire que cette chanson avait plu puisque nous l’avons retrouvée, toujours sur le même petit poste de radio (la voiture n’avait pas d’autoradio…) sur le chemin de nos premières vacances au Portugal. Nous étions partis fort tôt, encore dans la nuit, et avions pris le chemin des écoliers du côté des Pyrénées, histoire de voir le fameux col de Roncevaux. Là, dans la matinée, «Virages» surgit soudain juste au moment où nous nous traînions sur la nationale, suivant péniblement le convoi (fort long…) du cirque Pinder qui partait se produire en Espagne et serpentait dans les lacets. J’entends encore mon père s’exclamer, au bord du rire, «Un virage à droite, un peu sec, qui te plaque à moi… Eh bien ce n’est pas à la vitesse où nous tournons que ça risque d’arriver ! ».
Virages ! Que d’émotion à l’écoute de cette chanson… toute une ambiance qui me ramène… 50 ans en arrière ! C’est à la fois douloureux et réconfortant ! Le temps n’est rien. Ce qui était avant-hier n’est qu’hier en réalité !
Merci Yves de partager avec nous, de cette manière, l’histoire de vos chansons, votre histoire ! Heureuse d’en faire un tout petit peu partie.
J’adore la version bossa !!
Amitiés,
Marie-Sylvie
Première chanson et tout de suite, un coup de maître !
J’aime beaucoup la version bossa, toute douce qui gomme le “énérvée sans doute”. Ne reste que la main qui glisse dans le dos…
Merci pour ces beaux Virages.
Des bises.
Merci beaucoup. Belle idée
Merci beaucoup, cher Yves! Je me rejouis d’ecouter chaque jour et suivre le programma des podcasts des chansons si belles. Grosses bises et toutes mes amities, Tamara Kappers
Quelle joie d’avoir un rendez-vous quotidien avec vous et vos chansons cher Yves! C’est un merveilleux cadeau que vous nous faites là! Je croyais que pour les anniversaires, c’était à nous d’offrir un cadeau et finalement, c’est l’inverse! Vous avez le sens des virages… Conversion totale, renversement … qui bouleverse… comme toujours. Je n’ai qu’un immense MERCI à vous offrir, humble et sincère… Moi qui pleurais de ne pas pouvoir monter à Paris vous écouter le 2 novembre, vous poussez la route jusqu’à moi. J’espère juste que ma gratitude vous ira DROIT AU COEUR, sans détour ni virage!
Il a vraiment bien fait d’ insister Frédéric Botton….Cette chanson superbe traverse toutes les décennies et nous enchante à chaque fois. La version Bossa est sublime.
Merci cher Yves pour ce premier podcast.
A demain….
Nicole
Superbe idée de partager de cette manière. Un régal. Merci à vous deux.
Merci pour ce cadeau merveilleux cher Yves. Que de doux souvenirs cette chanson. 50 ans et elle m’emmène toujours dans son rythme et sa tendresse.
Cher Yves,
Pour rien au monde je n’aurais manqué ce premier rendez-vous qui débute une longue série de podcasts, de quoi nous faire patienter jusqu’à la date magique du 2 novembre où j’aurai le plaisir de vous retrouver pour cette deuxième soirée aux Folies Bergère.
Quel magnifique cadeau vous nous faites, en complément de votre livre “Chemin d’écriture”, sa version “audio” en quelque sorte. Merci infiniment pour ce beau partage !
J’avais déjà beaucoup aimé le livre audio “Chemins de liberté” et j’ai maintenant hâte de découvrir jour après jour les autres trésors que vous allez nous offrir.
A très vite, avec toutes mes amitiés ainsi qu’à Noëlle.
Pascale
Grand merci pour ces podcasts qui sont une petite oasis dans ces jours si difficiles…
Grand merci cher Yves pour ces rendez vous quotidiens, qui sont une petite oasis en ces jours si difficiles…
Cette chanson éveille en moi des souvenirs inoubliables …mon premier et mon véritable amour .J adore les différentes versions aussi passionnantes que passionnées .Merci Yves de partager des moments d amour et de partage si essentiels dans un monde dur et violent .
A Noëlle et Yves. Là, tout à coup les écouteurs sur les oreilles je me retrouve propulsée il y a presque 50 ans. Cachée sous mon oreiller ma petite radio, interdite à la pensionnaire que j’étais, me révélait que ce “Virages” était une espérance d’une puissance infinie. Là, où l’espérance résonne, la vie prend un bel élan. Je suis tous les virages et ne m’en lasse pas. La bossa, qui, je le dis souvent, vous va comme un gant, est d’une douceur savoureuse. J’aime les deux avec délice. Merci infiniment pour ce cadeau. Attentifs et délicats, merci à vous deux, pour toutes ces attentions dont vous entourez ceux qui vous apprécient. Quel bonheur de vous dire “à demain”. Jamais je n’aurais pensé vous dire celà. C’est assez galvanisant. Avec tout mon respect.
Merci , Yves pour ce merveilleux souvenir:-)) Que ce grand virage et ce long voyage ne finissent pas ..pour notre plus grand bonheur !!! J’aime aussi beaucoup la version bossa nova.. Vivement demain ..le prochain rendez vous !!
Magnifique !!! C’est ma chanson fétiche
Merci Yves
Magnifique !!! C’est ma chanson Fétiche
Merci Yves
Quelles belles émotions, différentes à chaque version mais aussi intenses…
La magie est réconfortante.
Merci de partager tout ça..
Bonjour Yves, bonjour Noëlle, bonjour à tous,
Quelle belle idée que ces podcasts quotidiens qui vont rythmer nos jours et ensoleiller nos cœurs juste au moment où l’automne semble enfin se décider à frapper à nos portes.
Nous allons être fort nombreux, sans aucun doute, à venir chercher à la source le récit des origines de chaque chanson qui nous sera proposée. La petite dose de bonheur en plus, c’est d’entendre le texte dit d’une voix familière, de celle que nous entendons dans notre tête en lisant «Chemins d’écriture»…
J’ai pris ces podcasts, si simplement offerts ici, comme une invitation, après avoir entendu la genèse d’une chanson, à donner ici le récit de la façon dont nous l’avons découverte, ou bien tout simplement l’expression de ce que ces paroles «écrites pour qu’elles s’envolent» font résonner en nous en termes de souvenirs.
J’essaierai donc de tenir le rythme au mieux, bien que je sois déjà en retard de deux ou trois longueurs, en vous livrant quasi quotidiennement la façon dont la chanson du jour résonne en moi.
Mon premier souvenir de «Virages», c’est celui du son du petit poste de radio qui accompagnait ma maman dans ses travaux de couture ou de tricot. En général, elle écoutait les émissions de France Inter à un niveau raisonnable, mais dès que «Virages» pointait une note sur l’antenne, le volume grimpait soudain de façon extraordinaire, à tel point que je l’entendais depuis l’autre bout du couloir qui séparait les chambres.
J’avais presque 8 ans, et tout ce que j’avais compris, c’était que rouler de nuit, dans le brouillard, sur une route sinueuse, ce n’était pas si simple. Par contre, je n’avais pas bien intégré la notion de «virage qui te plaque à moi»… Comme je n’ai jamais aimé rester sur une question sans réponse, j’ai cherché, et découvert dans l’encyclopédie les notions de forces centrifuge et centripète. Premier contact avec les sciences physiques…
Quelques mois plus tard, «Virages» passait toujours épisodiquement sur l’antenne de France Inter, puisque, à cette époque-là, la programmation n’était pas dictée par les maisons de disques, mais portait la patte de celui ou celle qui assumait cette responsabilité dans la station. Il faut croire que cette chanson avait plu puisque nous l’avons retrouvée, toujours sur le même petit poste de radio (la voiture n’avait pas d’autoradio…) sur le chemin de nos premières vacances au Portugal. Nous étions partis fort tôt, encore dans la nuit, et avions pris le chemin des écoliers du côté des Pyrénées, histoire de voir le fameux col de Roncevaux. Là, dans la matinée, «Virages» surgit soudain juste au moment où nous nous traînions sur la nationale, suivant péniblement le convoi (fort long…) du cirque Pinder qui partait se produire en Espagne et serpentait dans les lacets. J’entends encore mon père s’exclamer, au bord du rire, «Un virage à droite, un peu sec, qui te plaque à moi… Eh bien ce n’est pas à la vitesse où nous tournons que ça risque d’arriver ! ».
À suivre.
Grosses Bises à Yves et Noëlle…
Hélène.
Cette chanson revient souvent dans ma conversation avec Patrick quand je suis en voiture avec lui et que je m’endors.