Placé sous le signe de Jonathan Livingston le Goëland, ce disque est comme un envol. Première chanson d'engagement, (La langue de chez nous), pas de "titre fort" en terme de programmation radio, mais je trouvais l'inspiration dans des pôles d'intérêt inattendus. La langue française, le rêve (Fany) la Corse (Le village endormi), la mort (Qu'y a t-il après ?), le cirque... Et pourtant l'album atteint le public. Il marque un tournant dans ma carrière, on ne peut plus parler de chansons "bucoliques"...