Vous souhaitez aider un enfant, contribuer à lui offrir un nouvel avenir ? APRES SCHOOL concrétise cette possibilité et vous accompagne dans votre projet, en toute transparence.
L’Ecole : Elle se situe dans le Sud de l’Inde, à quelques kilomètres de Pondichéry, et se consacre aux enfants des tribus, c’est à dire des castes les plus basses (8% de la population en Inde) non scolarisés, voués à l’illettrisme, qui ne peuvent entrevoir qu’un horizon de misère, de vente de babioles et de mendicité.
L’Internat : une solution adaptée aux enfants des tribus nomades
La pédagogie participative : Une méthode d’enseignement éprouvée et approuvée par le Département de l’Education du Tamil Nadu
Vous pouvez parrainer : un enfant des tribus Nari Kurovar, ou Irulas, communautés les plus défavorisées parmi les “Intouchables”
Le parrainage ? Vous apportez, vous recevez… Ce n’est pas un don, mais un échange, une prise en charge, un contrat moral qui s’inscrit dans la durée. Dans cette relation privilégiée avec un enfant d’une autre culture, vous recevrez des informations régulières sur votre filleul(e) qui recevra également vos courriers, photos, mails, vidéos… . Vous serez tenu(e) au courant de l’évolution de sa scolarité, vous pouvez aussi lui rendre visite et le découvrir dans son environnement.
Les différents types d’aides
- le parrainage individualisé :
Prise en charge de la scolarité d’un enfant : 0,80€/jour
Prise en charge globale d’un enfant (école, vie quotidienne, loisirs, santé, éveil…) : 1,5 € /jour
- le soutien “coup de pouce” :
Sur un projet ponctuel, activité culturelle, équipement sportif, construction d’un amphithéâtre à l’Ecole, une aide précieuse pour tous les enfants…
Ce que ça vous coûte (après déduction fiscale) : Vous donnez 1,5€, vous ne payez que 0,5€ .
Comment faire ? Parrainage mode d’emploi : Cliquez à droite sur la marge du Blog : “Faire un don, APRES”
Home, Yann Arthus-Bertrand
Avant tout, je voudrais préciser qu’APRES SCHOOL n’est pas sans rapport avec ce film. Elle est la contribution, l’agissement d’Yves et Noëlle au lieu de rester au stade des palabres. AGIR, un maitre mot…Bravo !
Un grand merci à Monsieur Yann Arthus-Bertrand est un vain mot en rapport à tout le bénéfice pour l’humanité que générera ce film pour le bien de tous.
Libre de droits et diffusé gratuitement sur internet, je vous envoie le lien pour ceux qui l’auraient manqué vendredi soir :
http://www.youtube.com/watch?v=NNGDj9IeAuI
Cauchemardesque et apocalyptique tout le long du film, le dénouement se veut optimiste. Nous n’avons pas le temps d’être pessimistes dit à plusieurs reprises le commentaire.
Quelles sont les solutions pour réparer nos méfaits après 13,7 milliards d’années de miracles où la nature a joué aux dés pour que nous existions ?
Elles sont nombreuses et passent par l’éveil des consciences.
Nous sommes en face de deux problèmes majeurs : Le réchauffement climatique et le vertigineux appauvrissement de nos ressources. Quand j’évoque l’appauvrissement, je ne fais pas allusion à la fin proche des énergies fossiles qui sont à l’origine d’un tel désastre, je pense à ce qui est le synonyme de la vie : l’eau !
Sur le plan démographique, la population mondiale ayant triplée en 60 ans, un saut de puce dérisoire à l’échelle du règne humain, lui-même un saut de puce à l’échelle de la vie sous toutes ses formes. 12 milliards en 2068, et après ?… Et si ce chiffre était exponentiel ? Et pourquoi ne le serait-il pas si la nature ne se charge pas d’une nouvelle partie de dés, de faire le vide à sa manière ? Je n’ai pas de solution ou elle ne serait pas d’ordre éthique puisque la seule envisageable étant de limiter la natalité. Pas du tout éthique, je vous l’ai dit mais j’ai beau me creuser la tête, je n’en vois pas d’autres. Ne pas agir serait criminel pour les générations futures. Les ressources en eau et en alimentation nous feraient défaut très rapidement, quoique nous fassions pour réparer nos erreurs…On peut se voiler la face derrière des questions d’ordre éthiques et ne rien faire mais ce n’est pas non plus une solution. Cette question est extrêmement délicate à soulever mais on ne peut l’ignorer. J’apporte par conséquent des éléments de réponse à une question d’ordre moral sans pour autant apporter de solution viable et humainement acceptable. A court terme, l’humanité devra choisir la solution la moins mauvaise. Pour l’heure, il y a d’autres priorités.
L’urgence immédiate est de déployer tous les efforts possibles afin ne plus souiller notre planète bleue. J’en entends déjà certains crier à l’utopie et il est vrai que lorsque l’on s’aventure sur de tels terrains, il faut se méfier de ne pas verser dans l’utopie. Mais sommes-nous à l’heure des polémiques et des palabres ou doit-on gérer les priorités par des agissements ? Au rythme de nos besoins et au regard de la densité de la population actuelle, on ne peut pas se passer de moyens de locomotions, de même on ne peut pas se passer d’énergie au risque d’affamer la planète toute entière. J’en conclu que les efforts de toutes les nations doivent être décuplés et axés sur des moyens de substitution aux énergies fossiles, n’en déplaise aux lobbies et aux multimilliardaires du pétrole, ou à ceux qui, comme moi, vivent de l’automobile. Je ne peux pas pour autant voir midi à ma porte et ne pas réfléchir au titre de défendre mes propres intérêts. Les grandes puissances mondiales réfléchissent beaucoup dans ce sens et ce sont des faits très récents. Ce qui tend à penser que nous sommes dans la bonne direction mais des agissements s’imposent d’urgence ! Cette transition passera t’elle par la pile à combustible ? Ce n’est pas à moi de répondre à cette question… Ce que je sais, c’est que nous devons agir et que nous avons tous un rôle à jouer, aussi mineur soit-il.
Pour ceux qui s’en souviennent, j’avais déjà écrit sur des sujets très similaires. L’actualité récente et « Home » me poussent à la récidive. Vous êtes tous bienvenus à apporter vos contributions et vos idées.
Merci Roseline et Marie de vos attentions particulières. Si j’ai la pudeur de ne pas remuer vos émotions, je n’en suis pas moins proche de vous par mes pensées affectueuses. Rafa se porte comme un charme, de même que mes têtes blondes que l’on aperçoit à mes côtés au forum de la Fnac du Val d’Europe.
Fabrice
Merci à Noëlle et Yves de contribuer à ouvrir nos consciences. Là-bas jusqu’en Inde, nous allons vous suivre…
Emma
et oui je suis de retour parmi vous après un grand passage à vide depuis fin novembre, j’espère que vous ne m’en voudrez pas, mais je n’y peux rien, je n’aurais pas su…
là je remonte la pente et consacre beaucoup de temps à Agathe et Alexian ils ont bien besoin de leur maman…
et là nous allons surement prendre la décision en famille de parrainner un enfant du bout du monde, nous y songions déjà depuis longtemps, là Yves et Noëlle nous tendent une belle perche et nous allons la prendre je crois!
bon week end à tous
Sonia
Contente de te revoir Sonia…
Il suffit d’un petit rayon de soleil dans un ciel gris pour que l’on voit apparaître un arc-en-ciel sur le chemin de la vie.
😉
Karine (Walcourt) Belgique
Bon courage Sonia ! Je me sens proche de vous tous quand je vous lis sur ce blog. Nous portons tous le poids plus ou moins lourd de notre vie sur notre dos. Mais après avoir vu le film “Home” que sont ces petits et gros malheurs personnels face à l’ampleur de la catastrophe annoncée pour notre planète bleue ?
Nous avons tenu mon mari et moi à aller voir le film au cinéma, sur grand écran, et payer pour le voir.
Au delà des images grandioses et magnifiquement dramatiques, qui nous font aimer encore plus cette terre qui est la nôtre, que pouvons-nous faire, nous petites fourmis laborieuses ? Economiser l’eau, ne prendre la voiture que quand c’est réellement nécessaire, acheter les produits du commerce équitable si notre budget le permet, installer des panneaux solaires sur notre maison, là encore si le budget est possible ? ET les grands groupes pétrochimiques, les industries lourdes, et cette ville de Las Vegas qui utilise à elle seule une quantité phénoménale d’eau, est-elle vraiment utile ? A quoi et surtout a qui sert-elle ? Je n’y connais pas grand chose, mais je pense que tout est basé sur le profit au détriment du reste.
Les chiffres annoncés par Yann Artus Bertrand sont effarants : une minorité d’êtres humains consomment à outrance sur le dos du reste de l’humanité…
Je n’ai pas de solutions, si ce n’est que de faire attention à mon tout petit niveau et d’agir en citoyen du monde et en éduquant mes enfants comme tel.
Merci Fabrice pour votre message, vous avez raison, nous sommes tous proches grâce à ce blog, chacun se sent un peu moins seul.
Merci à Yves et à Noëlle de ce lien.
Amicalement à vous tous.
Marie
Bonjour à tous !
C’est très beau cette initiative, merci aussi pour le reportage publié précédemment. Cela nous incite à donner le meilleur de nous mêmes, à nous ouvrir encore et toujours aux autres…
Chouette l’idée de parrainage, mais (et oui, il y a quand même peut-être un bémol), beaucoup d’ONG aujourd’hui reconnaissent les effets pervers des parrainages individuels (pouvant créer des jalousies, créant un lien enfermant l’enfant dans un posture +/- consciente de pauvre, redevable). Bien sûr pour les Occidentaux donateurs c’est plus mobilisateur, plus parlant, mais je crois avec beaucoup d’autres à l’efficacité des parrainages collectifs d’école (on reçoit aussi des nouvelles bien sûr). Pour pousser la réflexion, je vous invite à aller sur le site Ritimo.org.
Merci encore pour ce blog qui nous met tous en lien !